Lire pour le plaisir
Recherche avancée

Le grand voyant d’Héliopolis

Un roman au suspense haletant, baigné de lumière et de spiritualité

Héliopolis, la plus ancienne cité sacrée d’Égypte.
Alors que se prépare l’élection d’Ounis à la tête de la Ve dynastie, la vision du Grand voyant Branir se trouble, faisant craindre la fin de l’âge d’or de l’Égypte pharaonique et la venue de dangers extrêmes pour la terre aimée des Dieux.

Avec ses cheveux grisonnants, son large front dégagé, ses yeux d’un bleu profond brillant d’une rare intensité, Branir impressionne ses interlocuteurs. Lui seul peut assurer la transmission d’un pouvoir fondé non pas sur les ambitions humaines, mais sur la Règle d’harmonie de l’univers.

Cependant un opposant d’Ounis a décidé d’utiliser les services d’un tueur libyen pour l’éliminer. Le grand voyant saura-t-il l’identifier à temps, le neutraliser et surmonter tous les autres obstacles qui se dressent sur sa route ? L’enjeu est capital : la préservation des valeurs sacrées qui font de l’Égypte une civilisation de lumière.

La fabuleuse histoire du Grand voyant d’Héliopolis, pour la première fois racontée

Interview de l’auteur

Christian Jacq nous parle de son nouveau roman, Le Grand Voyant d’Héliopolis,
le récit d’un événement majeur de l’histoire de l’humanité :
la révélation des premiers textes des pyramides !

« Dernier souverain de la Ve dynastie, le pharaon Ounas est à l’initiative d’une évolution majeure dans les grandes étapes de la civilisation égyptienne. En compagnie du Grand Voyant d’Héliopolis, il décide d’« écrire » la tradition orale. Pour la première fois, une pyramide parle, et un univers s’ouvre !

C’est dans la pyramide nommée «la Perfection des lieux», située à Saqqara, que nous découvrons cette nouveauté stupéfiante par rapport aux pyramides précédentes: des hiéroglyphes sur les parois, les premiers Textes des Pyramides. Peintes en vert, couleur de l’épanouissement, et disposées en colonnes, les « paroles de Dieu » composent le premier livre de pierre.

En aucun cas, ils ne sont des textes funéraires. Ils servent à transformer le pharaon en être de lumière, au-delà de la mort, selon un processus rituel. À l’intérieur de sa pyramide, le ressuscité devient une parole du livre et renaît à l’intérieur de ces paroles de création. Ces hiéroglyphes sont vivants et transmettent une vie impérissable.

Une question reste posée : pourquoi Ounas a-t-il pris une telle décision ? À mon sens, Ouna, dernier pharaon d’une dynastie heureuse, a pressenti que la suivante ne serait sans doute pas aussi paisible et que l’avenir s’annonçait moins riant. Aussi jugea-t-il nécessaire de formuler la tradition initiatique et de l’inscrire dans sa pyramide.

Mais rien n’aurait été possible sans le Grand Voyant d’Héliopolis, personnage fascinant. C’est son histoire que je raconte pour la première fois dans ce nouveau roman. »
Christian Jacq

lire toute l’interview

Suivez toute notre actualité

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques de trafic. En savoir plus